SONY FE PZ 16-35 mm F4 G (Power Zoom)
Il y a trois ans, j'ai acheté l'objectif ultra grand-angle Sigma 14-24mm F2,8 DG DN Art et je l'ai affectueusement surnommé "l'objectif des dieux", car les performances de reproduction étaient tout simplement incroyables, avec une netteté à couper au rasoir sur les bords et dans les coins dès l'ouverture F2,8 ! Aucun objectif que je connaisse, qu'il s'agisse d'un objectif haut de gamme ou d'une focale fixe, ne s'est approché de ces performances de netteté.Pourtant, il traînait dans l'armoire, inutilisé pour la plupart. Pourquoi ? D'une part, il n'était guère adapté à la photographie avec filtre en raison de sa lentille frontale très bombée, et d'autre part, avec ses 830 g, il était extrêmement lourd. Je l'ai toujours trouvé très inconfortable, pire que mon téléobjectif 300, qui pèse encore 100 g de plus sur la balance. En fait, il n'était pas si grand que ça, mais il donnait l'impression d'être une masse de plomb sur l'appareil photo, ce qui était dû à l'utilisation généreuse de laiton massif et bien sûr de beaucoup de verre.C'est donc le cœur lourd que j'ai vendu le Sigma et que je me suis procuré un nouvel objectif ultra grand angle pour le produit de la vente. Un objectif dont j'avais pris connaissance avec plus ou moins de désintérêt lors de sa sortie il y a environ deux ans. Et plus précisément le SONY FE PZ 16-35 mm F4 G.L'abréviation PZ signifie Powerzoom et est principalement utilisée chez Sony pour les objectifs vidéo. En effet, il est doté d'excellentes caractéristiques pour les vidéastes. Il n'a pratiquement pas de respiration de la mise au point et permet des mouvements de zoom très doux et souples grâce à la commande motorisée intégrée. Comme je ne m'intéresse absolument pas à la vidéo, je pensais au départ que cet objectif ne m'intéresserait pas. Mais c'est loin d'être le cas !Car il sait aussi convaincre en tant qu'objectif photo. Mais reprenons les choses dans l'ordre. Le SELP1635G est extrêmement compact et ne pèse que 350 g ! En zoomant, il ne change pas de taille, le déplacement des lentilles est motorisé à l'intérieur. Et ce, de manière absolument silencieuse et adaptative depuis la vitesse. La plage de distance focale de 16 à 35 mm est très universelle, ce qui en fait un appareil idéal pour les voyages. Grâce à la lentille frontale plate et au filetage pour filtre, il est compatible avec les filtres sans restriction. Le fait qu'il ne s'agisse que d'un objectif à f/4 ne me dérange pas, car pour les paysages et l'architecture, on réduit de toute façon le diaphragme et on utilise en général des ouvertures entre 4 et 11. Il est également étanche à la poussière et à l'humidité et dispose d'une lèvre en caoutchouc sur la baïonnette.Dans les tests, l'objectif est très bien accueilli, en particulier par les YouTubers anglophones qui le qualifient de "G-Master Killer". Sur Digitalkamera.de, il est décrit comme bon marché et de mauvaise qualité, avec une perte de résolution extrême à la focale 16. Donc, la finition et le toucher bon marché sont des conneries absolues ! Elle est exactement identique à celle d'autres objectifs G et G-Master plus récents, il n'y a aucune différence. Seul le poids est plus faible, mais c'est justement le point fort de cet objectif !Et maintenant, parlons des performances d'image. Certes, j'étais prêt à faire des compromis. Mais lorsque j'ai fait les premières photos d'essai, j'ai été extrêmement agréablement surpris et j'ai même pensé au début qu'il était à la hauteur du Sigma. Là où d'autres objectifs ultra grand-angle produisent souvent des pixels de merde au niveau des bords et des coins, on obtient ici une très bonne netteté de bout en bout. En y regardant de plus près, on remarque effectivement une petite perte de netteté à 16 mm. Mais dans l'ensemble, c'est toujours une performance de haut niveau que l'objectif réalise ici. À la focale 24, il n'y a pratiquement plus rien de visible et il surpasse par exemple de loin l'objectif 24 mm F1,4 G-Master ! Même la focale de 35 mm est à mon avis au niveau des focales fixes de première classe. Le comportement en contre-jour est également très bon. Jusqu'à présent, je n'ai pas pu déceler de flare. L'AC est également corrigé automatiquement dans l'appareil photo ou dans le convertisseur RAW, de sorte que l'on n'a pas à s'en soucier lors de la prise de vue.Il y a cependant une particularité que je n'avais encore jamais remarquée sur un objectif. La meilleure performance de netteté est effectivement atteinte à l'ouverture F4 et maintenue jusqu'à F5,6. À F8, de légers flous de diffraction apparaissent déjà. Néanmoins, il est encore possible de travailler correctement jusqu'à l'ouverture F11 - si cela est nécessaire pour la profondeur de champ. Les images prises avec une ouverture de F22 sont presque inutilisables et donnent l'impression d'être adoucies. Cet effet est toutefois dû en grande partie à mon A7R V et à son capteur de 61 mégapixels. Je n'ai pas pu reproduire cet effet avec mon A7C de 24 mégapixels. Dans l'ensemble, l'objectif s'harmonise très bien avec mon A7R V et fournit des résultats de haute résolution. Je suis entièrement satisfait et je suis heureux que le fait de devoir transporter une brique (Sigma) appartienne au passé.Néanmoins, le Sigma était encore un peu plus net et plus parfait. Mais honnêtement, je ne pense pas que cela joue un rôle dans la pratique. Le Powerzoom Sony est nettement meilleur que le Sony Zeiss 16-35 mm et bat également à 24 mm la focale fixe G-Master 24 mm F1,4. Il est également censé avoir une meilleure netteté sur les bords que le G-Master 16-35 mm F2,8. Mais je ne peux pas le confirmer par ma propre expérience, car je n'ai jamais eu ces lentilles.Le nouveau Powerzoom 16-35 mm F4 est l'un de ces objectifs modernes qui ont été calculés pour la correction numérique dès leur conception. On peut trouver cela bien, ou pas. Mais le fait est qu'il est ainsi possible de réaliser des constructions très compactes et légères, comme on n'en avait jamais vu auparavant. Tant que les résultats d'images générés à partir de RAW sont convaincants sur toute la ligne, je n'en ai honnêtement rien à faire.
SONY FE PZ 16-35 mm F4 G (Power Zoom)
Vor drei Jahren hatte ich mir das Sigma 14-24mm F2,8 DG DN Art Ultraweitwinkel-Objektiv gekauft und liebevoll "Götterlinse" genannt, weil die Abbildungsleistungen einfach abartig gut waren, rasiermesserscharf bis zum Rand und in die Ecken bereits bei Offenblende F2,8! Kein mir bekanntes Objektiv, egal ob Premium- oder Festbrennweite kam auch nur annähernd an diese Schärfeleistungen heran.
Dennoch lag es überwiegend ungenutzt im Schrank herum. Warum? Zum einen war es für Filterfotografie aufgrund der stark gewölbten Frontlinse kaum geeignet, zum anderen war es mit 830 g auch extrem schwer. Ich fand es immer richtig unangenehm, schlimmer als mein 300er Tele, welches sogar noch 100 g mehr auf die Waage bringt. Denn eigentlich war es gar nicht so groß gebaut, aber es wirkte gewichtstechnisch wie ein massiver Bleiklumpen an der Kamera, was letztlich dem großzügigen Einsatz von massivem Messing und natürlich jeder Menge Glas geschuldet war.
Nun habe ich das Sigma schweren Herzens verkauft und mir für den Verkaufserlös ein neues Ultraweitwinkelobjektiv geholt. Ein Objektiv, welches ich bei Erscheinen vor rund zwei Jahren mehr oder weniger desinteressiert zur Kenntnis genommen hatte. Und zwar das SONY FE PZ 16-35 mm F4 G.
Das Kürzel PZ steht für Powerzoom und kommt bei Sony primär für Videoobjektive zum Einsatz. Tatsächlich ist es für Videofilmer mit tollen Features ausgestattet. Es hat kaum Focusbreathing und erlaubt durch die verbaute Motorsteuerung ganz sanfte und weiche Zoomfahrten. Da ich mich für das Videofilmen absolut nicht interessiere, dachte ich anfangs, dass dieses Objektiv für mich uninteressant wäre. Aber weit gefehlt!
Denn auch als Fotoobjektiv weiß es zu überzeugen. Doch der Reihe nach. Das SELP1635G ist extrem kompakt gebaut und wiegt gerade einmal 350 g! Beim Zoomen verändert es nicht seine Größe, die Verschiebung der Linsen findet motorisch im Inneren statt. Und zwar absolut lautlos und seitens Geschwindigkeit adaptiv. Der Brennweitenbereich von 16 - 35 mm ist sehr universell und so eignet es sich auch als Immerdrauf. Dank flacher Frontlinse und Filtergewinde ist es uneingeschränkt filtertauglich. Dass es nur ein Blende 4 Objektiv ist, stört mich nicht, für Landschaft und Architektur blendet man ohnehin ab und nutzt in der Regel Blenden zwischen 4 und 11. Es ist auch gegen Staub- und Feuchtigkeit abgedichtet und verfügt über eine Gummilippe am Bajonett.
In Tests kommt das Objektiv überwiegend sehr gut weg, besonders bei englischsprachigen YouTubern wird es regelrecht als G-Master Killer gehyped. Bei Digitalkamera.de wird es als billig und minderwertig verarbeitet bezeichnet und ein extremer Auflösungsverlust bei der 16er Brennweite attestiert. Also die billige Verarbeitung und Haptik ist absoluter Schwachsinn! Sie ist exakt genauso, wie man es von anderen neueren G- und G-Master Objektiven kennt, da gibt es keinen Unterschied. Lediglich das Gewicht ist geringer, aber genau das ist ja der Clou dieser Linse!
Und nun zu den Abbildungsleistungen. Zugegeben, ich war kompromissbereit. Aber als ich die ersten Testaufnahmen gemacht hatte, war ich extrem positiv überrascht und dachte anfangs sogar, dass es dem Sigma ebenbürtig ist. Wo andere Ultraweitwinkelobjektive im Bereich der Ränder und Ecken oft Pixelmatsch produzieren, wird hier eine durchgängig sehr gute Schärfe erreicht. Beim ganz genauen Hinschauen bemerkt man tatsächlich ein wenig Randabfall bei 16 mm. Aber das ist insgesamt immer noch eine Top-Leistung, die das Objektiv hier bringt. In der 24er Brennweite ist davon praktisch nichts mehr zu sehen und es übertrifft beispielsweise die 24 mm F1,4 G-Master Linse um Welten! Auch die 35 mm Brennweite sehe ich auf dem Niveau erstklassiger Festbrennweiten. Auch das Gegenlichtverhalten ist sehr gut. Flares konnte ich bislang noch nicht ausmachen. Auch CA's werden automatisch direkt in der Kamera bzw. im RAW-Konverter korrigiert, sodass man letztlich bei den Bildergebnissen davon verschont bleibt.
Es gibt jedoch eine Besonderheit, die ich so noch nie zuvor bei einem Objektiv bemerkt habe. Die beste Schärfeleistung wird tatsächlich bei Offenblende F4 erreicht und bis F5,6 gehalten. Bei F8 treten bereits leichte Beugungsunschärfen auf. Dennoch kann man bis Blende F11 - sofern für die Schärfentiefe notwendig - noch gut arbeiten. Bilder mit Blende F22 sind nahezu unbrauchbar und wirken wie weichgezeichnet. Dieser Effekt wird jedoch maßgeblich durch meine A7R V mit ihrem 61 Megapixelsensor verantwortet. An meiner A7C mit 24 Megapixeln konnte ich den Effekt so nicht nachstellen. Insgesamt harmoniert das Objektiv mit meiner A7R V sehr gut und liefert hochauflösende Resultate. Ich bin voll und ganz zufrieden und freue mich, dass das Mitschleppen eines Ziegelsteins (Sigma) der Vergangenheit angehört.
Dennoch war das Sigma noch eine Spur schärfer und perfekter. Ob dies jedoch in der Praxis eine Rolle spielt, glaube ich ehrlich gesagt nicht. Das Sony Powerzoom ist deutlich besser als das Sony Zeiss 16-35 mm und schlägt auch bei 24 mm die G-Master Festbrennweite 24 mm F1,4. Es soll auch eine bessere Randschärfe haben wie die G-Master 16-35 mm F2,8. Aber das kann ich nicht aus eigener Erfahrung bestätigen, da ich diese Linsen nie hatte.
Das neue Powerzoom 16-35 mm F4 ist eines dieser modernen Objektive, die bereits bei der Entwicklung für digitale Korrekturen gerechnet wurden. Das kann man gut finden, oder auch nicht. Fakt ist jedoch, dass so sehr kompakte und leichte Konstruktionen möglich sind, wie man sie zuvor noch nicht gekannt hat. So lange die aus RAW generierten Bildergebnisse auf ganzer Linie überzeugen, ist mir das ehrlich gesagt auch völlig schnuppe.
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